Nous sommes dans la première moitié des années 1960 aux USA. Joseph Jackson, ancien musicien, travaille en tant qu'ouvrier. A la maison, son jeune fils Tito prend sa guitare et se met à en jouer en cachette. Finalement son père s'en rend compte et réalise que son fils a du talent. Il découvre aussi que ses autres fils sont doués pour la musique. Ainsi, il lance le groupe 'The Jackson Brothers' composé de ses jeunes fils Jackie, Tito et Jermaine. En 1965, le trio s'agrandit et intègre les cadets Marlon et Michael. Le groupe prend alors le nom de 'Jackson Five'. A cette époque, Michael n'a que 6 ans. Petit à petit, ils font des shows sur scène. Ils sont finalement repérés par Berry Gordy, qui les fait signer sur son label 'Motown Records'. Pour que leur arrivée sur le devant de la scène ait plus d'impact, on demande à la diva Diana Ross de les présenter au public. C'est le 11 août 1969 que la chanteuse présente officiellement les 'Jackson Five'. S'en suit un premier album qui voit le jour à la fin de l'année 1969. Le single "I Want You Back", porté par la voix du jeune Michael, rencontre un succès immédiat : il se classe 1er aux USA et 2e au Royaume-Uni !
1970 est l'année des 'Jackson Five' : ils publient cette année-là pas moins de 3 albums et récoltent de nouveaux succès avec les chansons "ABC", "The Love You Save" et "I'll Be There". Fait assez incroyable, ces 3 titres se classent tous à la première place des charts aux USA.
Le groupe se maintient en très bonne place en 1971 avec l'opus "Maybe Tomorrow" qui contient le morceau "Never Can Say Goodbye", qui sera repris quelques années plus tard en version disco par Gloria Gaynor.
Durant les années suivantes, les singles des 'Jackson Five' échouent à atteindre le sommet des classements aux USA. Le groupe reste néanmoins très populaire et leurs disques se vendent par millions. Leur titre "Dancing Machine" de 1973 annonce l'arrivée de la disco-soul.
Le lp "Dancing Machine" sort en 1974. Il est produit par Jerry Marcellino/Mel Larson/Hal Davis. Sur ce disque, le morceau le plus innovant est sans nul doute ce "The Life Of The Party", très moderne pour l'époque dans sa composition, sa rythmique et ses arrangements réalisés par Arthur Wright. "The Life Of The Party" sort discrètement en single : dommage, car il aurait mérité d'être mis beaucoup plus en avant ! Toutefois, le groupe l'interprète sur un plateau TV :
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