vendredi 30 mars 2018

That's When You Need Love - The Temptations (1978)



Au sein de la 'Motown', le groupe 'The Temptations' se trouve aux premières loges. Leur carrière commence au début des années 1960, et ils vont rencontrer un grand succès au fil des années, en classant 4 de leurs titres au sommet du 'Billboard Hot 100' et 14 à la première place du 'Billboard R&B'. 
Les années passant, les membres composant le groupe ne vont cesser de changer. Ainsi, Eddie Kendricks, qui était fidèle au poste depuis le tout début, quitte la formation en 1971. Puis d'autres membres arrivent dans les 70's. En 1975, le quintet se compose comme suit : en premier lieu, il y a Otis Williams et Melvin Franklin, qui sont en quelque sorte les membres porteurs du groupe, étant donné qu'ils sont à la même place depuis 1960. Ensuite, il y a Dennis Edwards, arrivé en 1968, Richard Street, au poste depuis 1971, et enfin Glenn Leonard, la toute nouvelle recrue qui remplace Damon Harris.
Au milieu des 70's, la formation est prolifique et sort un album par an, quand ce n'est pas deux. Toutefois, étrangement, aucun lp ne sortira en 1979. 
Avec les albums "House Party" et "A Song For You" qui paraissent en 1975, la direction est clairement établie : c'est du disco-soul-funk qui s'offre à nos oreilles. 
Entre 1977 et 1978, le groupe est de nouveau remodelé suite au départ de Dennis Edwards (qui reviendra en 1980). C'est Louis Price qui prend sa place, mais pas pour longtemps, puisqu'il qui disparaîtra dès l'année 1980.
Le groupe enregistre pour 1978 l'opus "Bare Back" produit par Brian Holland. On note la participation très active de Brian et Edward Holland à l'écriture des titres. Plusieurs morceaux seront diffusés en singles, sans faire vraiment de vagues. L'album, lui, sera quand même diffusé dans plusieurs pays autour du globe.
Ci-dessous, la formation interprète la chanson "Bare Back" sur le plateau de l'émission TV 'Soul Train' :


2 commentaires:

  1. Le Lp n'était pas mauvais, mais les Temptations c'est aussi une référence, donc difficile d'en dire du mal, mais on a quand même le droit, si on aime pas :-)

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